Vers Les Etoiles

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bon style, mais je trouve des incohérences:


Le garçon tombe pile sur un type qui lui donne de la boustifaille en plein hiver, qui se prétend chasseur mais a une épé magique, et qui l'aide en devinant son but et en l'acompagnant alors qu'il ne sait rien de lui... En plus le chasseur a sûrement plein d'amis puissants.


Mais comment peuvent-ils se faire confiance?


Kristof pourrait être un voleur qui lui prendrait son épée et sa nourriture, et le type pouurait faire partie de la bande de voleurs.


Tant de chance (tomber sur un super chasseur plein de ressources qui pourrait te donner sa maison sans te connaître) arrive-t-il souvent?


Ou alors ce n'est pas un hasard...


Le Rat (n'hésitez pas à poster dans mon récit "les fils de la nuit".)


Bof, je pense que si tu étais épuisé moralement et physiquement, que tu crevais la dalle et que tu ne demandais qu'à dormir, je crois que tu accepterais l'aide sans broncher, non ?


Enfin, c'est ma vision des choses ! Je peux le retravailler, bien sur =)


Merci d'être passé ! Bisous (bah c'est quoi cette odeur?)


Ciao ciao !


PS: KDJE, où te caches-tu?

(Modification du message : 11-12-2005, 21:34 par Méphisto666.)

K D J E ! Tes fans te réclament!


Et puis c'est toi qui a demandé la suite... ^^


Bon les points positifs maintenant:


-Bon style, j'aime.


-Les personnages sont sympas... Surtout les brigands!


-Pourrais tu me dire pourquoi le chasseur est gentil? (non c'est pas positif ça)


-Cette page est sponsorisée par Les fils de la Nuit, l'histoire qui est kwioul. Bientôt la suite.


Le Rat (puant? ^^)


Ahhh, il y a quand même des points positifs, ça me rassure ! =)




Citation :-Pourrais tu me dire pourquoi le chasseur est gentil? (non c'est pas positif ça)

Hé, mais qui te dis qu'il est si gentil que ça? J'adore faire planer le suspens (si supens il y a :p). Bonne soirée! Encore merci à toi !


Citation :Ahhh, il y a quand même des points positifs, ça me rassure !

Eeeeeet oui, je ne suis pas si méchant!




Citation :Hé, mais qui te dis qu'il est si gentil que ça

Heu... Il lui a sauvé la vie? A d'accord c'est un adorateur de slaanesh qui veut le torturer, le brûler vif et le manger AVANT de le tuer!


Non c'est super, j'attends la suite avec patience. Et oui.


Le putride Rat chaotique des Night Lords (aurais je le courage d'écrire la suite?)


P.S. entre écrivains on se comprend hein ;)


J'apprécie. Certains se seraient enfuis pour bouder.


Mais tu as omis une partie du contrat, Bilout : faut bosser. Visiblement, tu ne t'es même pas relu.




Citation :Hé, mais qui te dis qu'il est si gentil que ça? J'adore faire planer le suspens (si supens il y a :p).
Tu m'étonnes.
Dans la première partie, tu t'étais épargné la soeur éventrée et rapidement abusée par des soudards, c'était bien, Warmania est un forum sérieux.


Dans cette deuxième partie, toutefois, on assiste à une drague maléfique en règle, le suspense se réduisant à : quand le gamin va-t-il y passer ?


"Pauvre mais honnête, mais surtout bien seul"...


Kristoff aurait eu l'accent provençal qu'on se serait cru dans un sketch de Pierre Palmade.


Si j'ai bien suivi, Luke Skywalker se vautre dans la neige de Hoth et voit apparaître Ben Kenobi. Car l'arbre est un "être sauvage" (à la première lecture, j'ai cru à l'une de ces nombreuses fautes de frappe, pour me dire ensuite qu'un hêtre ne peut être domestique).


Ou alors Vanarek a simplement commandité l'assassinat de la famille Ingalls pour attirer à lui le jeune Kristoff ?


Le but de cette nouvelle épreuve, le récit se confirmant comme une quête initiatique, étant que :


- (hypothèse A) : Kristoff récupère l'épée de Vanarek, après l'avoir occis par ruse, sans que soit endolori son sphincter malgré le beurre qui a jauni le pain, et avant que "certaines personnes fort utiles" n'aient aidé Vanarek à.


- (hypothèse B) : Kristoff devienne l'apprenti de Vanarek, qui est un magicien.


Le suspense est en effet planant.


Tu exiges beaucoup (trop) de déductions de ton lecteur. Là sont les failles de ce deuxième épisode (voir commentaires des autres lecteurs), ce qui signifie que le texte n'est pas assez verrouillé entre une ou deux déductions possibles, choisies et maîtrisées par l'auteur.


Bon, quelques bricoles également, qui illustrent de même une maîtrise encore imparfaite de la narration selon un point de vue intérieur au récit :


- comment Kristoff sait-il que les pointes de flèche, dans le carquois, sont aussi tranchantes que des épées ?


- si le hullulement des loups est une "douce mélodie si entrainante", ce ne peut être que l'avis du narrateur (Kristoff), et il faut expliquer pourquoi. La convention littéraire donne en effet au hullulement lupien une connotation autrement dramatique (Exemple encore plus accessible : l'intro du clip Thriller de M.Jackson).


Donc, ou tu bosses, ou j'arrête de jouer.


Quelques commentaires rapides:


C'est plutôt pas mal, mais il y a évidemment de quoi améliorer, sinon ca ne serait pas drôle. Globalement je trouve que tu vas un peu vite, et ca se sent quand tu passes des descriptions elles assez lentes, posées et pas mal écrites (même si elles ont des défauts sur lesquels je vais revenir), aux scènes d'action où là on n'a plus aucune description et où tout va trop vite. Les persos sont très loquaces et ont peu d'émotion, on se croirait un peu dans un RPG sur ordinateur... Cela dit, il suffirait de peu, juste de poser un peu plus ces scènes là pour arriver à qqchse de très bien.


Parceque pour ce qui est de la langue francaise, tu t'en sors très bien, avec des descriptions que je trouve un peu trop fourmillantes en adjectifs mais qui sont pas mal choisis. Les temps sont plutôt bien maîtrisés aussi, et le récit est agréable à lire.


Pour ce qui est de l'histoire, il ne faut pas cacher que ce n'est pas très original pour le moment, mais il est très dur de saisir l'originalité aux premiers chapitres. C'est le développement qui conditionnera tout ca...


En tous cas continue comme celà, de toute facon ca ne peut que t'être bénéfique!


Ludwig


Et voilà, mes chers amis, la suiteuhhhhh !


-"Où allez-vous?"


Kristof venait de se reveiller brutalement, ayant entendu un bruissement de feuilles et le craquement de bois morts qui jonchaient sur le sol. Vanarek se retourna et son regard se posa sur le jeune homme désormais sorti de ses rêves. Des rêves sinistres, où il voyait son père défendre courageusement sa famille, et sa mère qui pleurait, serrant contre sa poitrine le petit Mathias. Son frère criait après lui -"Kristof, Kristof ! Au secours!"-, mais celui-ci n'arrivait pas et Mathias s'écroula finallement, incompris et innocent. Kristof suait encore et les battements de se coeur commençaient à diminuer. Il devait se montrer dur. Fort. Etre un homme.


-"Je pars chasser, je devrais être rentré d'ici trois petites heures."


Voyant le regard interrogatif du garçon, Vanarek ajouta:


-"Allons, Kristof. Tu as beaucoup crié et remué, cette nuit; il te faut donc te reposer encore un peu avant de se remettre en route."


Sur ce, l'ombre du chasseur s'évanouit dans la brume matinale, parmi les aulnes et les bosquets. Les rares rayons de soleil qui parvenaient à franchir la brume éclairaient les alentours. Kristof put donc s'apercevoir que le vieux manteau de Vanarek lui servait de couette, le réchauffant un minimum car le feu était éteint et les braises éparpillées un peu partout au pied d'un grand chêne centenaire. L'homme devait préférer son arc à son épée pour chasser; car celle-ci reposait sur une souche humide, où des centaines de fourmis grouillaient. L'épée, ou plutôt le cimeterre, était de couleur noire, fine, longue et facilement maniable. Aux mains d'un tueur, elle devait s'avérer meurtrière, fendant l'air et mordant le chair. Kristof se jura d'éclaircir ses pensées dès le retour du chasseur. Ensuite, le garçon essaya de se lever, mais à la place retentit un juron: le froid le gelait jusqu'à la moelle, ses mouvements devenaient raides et douloureux. Kristof pensa alors qu'un peu de sommeil supplémentaire ne pouvait pas lui faire de mal. Il ferma les yeux, se recouvrit du manteau, puis sombra presque aussitôt dans le monde de l'oubli.


Kristof se reveilla de nouveau brutalement, avait-il rêvé ou les bruits n'étaient en fait que le long murmure du vent ? Pourtant, le jeune orphelin se sentait épié, observé. Qui était donc en train de l'espionner? Etaient-ce les loups ou une autre bête sauvage ? Etait-ce Vanarek qui revenait, malgré que seulement deux heures se soient écoulées ? Il s'agissait, peut-être, tout simplement d'un tour de son imagination. Il essaya de se rendormir, mais cela lui était impossible. Kristof prit donc son courage à deux mains et cria dans la brume:


-"Qui va là ? Signalez-vous !"


En guise de réponse, un oiseau frustré s'envola dans le ciel encore illuminé par la lune. Le jeune garçon tremblait, mais gardait néanmoins son sang-froid. Il continua, d'une voix chevrotante, mais qu'il voulait assurée :


-"Je sais que vous êtes là ! Montrez-vous, je ne vous crains pas !"


Il avait dit ça en essayant de ne pas se montrer impressioné, après tout, il n'avait plus rien à perdre dans la vie. Il y eut alors une violente rafale de vent qui emporta un paquet de feuilles; et deux hautes silhouettes sortirent des ténèbres et s'avancèrent. A la lumière de la lune, Kristof vit qu'elles étaient bâties comme Vanarek: grandes, puissantes et fières. L'un des deux hommes avait de longs cheveux noirs, l'autre, quant à lui, possédait de magnifiques yeux bleus au regard pénétrant. Chacun avait, soigneusement rangée dans un fourreau, une longue dague et une arbalète à la ceinture. Kristof vit qu'ils continuaient à s'approcher; se sentant menacé, il sortit rapidement Carchost, l'ancienne épée de son père. Malheureusement, l'homme aux cheveux noirs se jeta violemment sur lui et attrapa avec force son poignet,celui tenant l'arme. L'autre, aux yeux bleus, se mit doucement à rire et lâcha d'une voie claire et:


-" Tu ne croyais tout de même pas faire le poids face à nous ?"


Il détourna le regard devant celui haineux et froid de Kristof, ses yeux tombèrent alors sur le cimeterre de Vanarek. Son rictus disparut aussi vite qu'il était apparut, et il dit :


-"Regarde, Amel ! Là !"


L'autre lâcha aussitôt Kristof après avoir vu l'arme aux motifs anciens. Il se releva en serrant les poings, de véritables masses osseuses qui auraient pu broyer le nez et le crâne de Kristof. Le dénommé Amel siffla:


-"Je pense que tu nous dois certaines explications, mon petit !"


Avant même que Kristof put dire ou murmurer quelque chose, une quatrième personne vint s'incruster parmi les autres. C'était Vanarek. Il ramenait un renard et deux petits putois. Le chasseur se permit un sourire radieux et déclara à Kristof:


-"Bien, je vois que tu as déjà fait connaissance avec Amel et Rafaël. C'est parfait, les choses sérieuses peuvent désormais commencer !"

(Modification du message : 11-01-2006, 18:57 par Méphisto666.)

Pas mal.


C'est pas mal. Le rythme est bon, et je n'ai buté que sur quelques broutilles :


- *précieux* sang-froid, hélas le sang-froid n'est pas une chose et son contrôle relatif (l'idée qui semble ici poursuivie) mérite un autre adjectif ;


- voix claire et *jolie*, qu'est-ce qu'une jolie voix, ou une voix laide ? La subjectivité du propos nécessite de préciser ses critères.


- fautes de frappe et d'orthographe relativisant la concentration de relecture de l'auteur (un impatient, à n'en pas douter).


Mais c'est pas mal, si, si. Le coup de théatre de la fin est même très bien amené.


Attends...t'es ironique là ?! =)


Ca me fait énormément plaisir de ne plus t'entendre me rabaisser, si si je t'assure ! Les fautes trouvées ont bien sur été corrigées: j'essaierai de faire une suite pour bientôt et j'espere qu'elle te plaira.


Bref, merci d'être passé !