Attends Jalikoud, la question ici n'est pas de juger "qualitativement" le fait d'être backers par rapport à client en boutique. Le backers sait qu'il se met qualitativement dans une position d'infériorité par rapport au client boutique : Le risque que le projet périclite, l'attente, les frais de port, des bonus moyens ou peu utile, etc ...
Le souci ici c'est que t'as des péons backers qui payent PLUS cher que les boutiques, alors qu'ils supportent justement tous ces aléas qualitatifs. Alors certes ils ont plus de produits, mais je pense que beaucoup d'entre eux aurait préféré payer 10€ de moins et se passer des "superbes figurines" fournies par Mohand (hint : irony inside). Ce qui revient clairement à dire : Vous avez payé EN PLUS vos cadeaux.
On sait tous que les stretch goals sont payés par les backers. Qu'ils sont souvent (toujours ?) prévues dans le prix de base par rapport à un volume de vente estimé. C'est normal de faire ainsi, pour l'entreprise. Elle ne peut pas sortir de son chapeau des produits sans avoir prévu le coup. Rien de choquant. Toutefois le prix boutique n'intégrant pas ces cadeaux (peu importe leur utilité) étant égal à ce qu'on payé les backers, il y a un sentiment de "justice".
Là les gens supportent tous les risques, et au final se voient littéralement imposé l'achat de stretch goals qui m'apparaissent comme largement dispensable. Et ça c'est quand même bien dégueulasse. Normalement une fois le projet fini, livré puis distribué en boutique, tu dois pouvoir te dire "J'ai bien fait de participer, j'y ai gagné". Là t'as la seule sensation de t'être fait enfler par rapport aux gars qui vont avoir les bouquins peut-être plus tôt et moins cher.
Le souci ici c'est que t'as des péons backers qui payent PLUS cher que les boutiques, alors qu'ils supportent justement tous ces aléas qualitatifs. Alors certes ils ont plus de produits, mais je pense que beaucoup d'entre eux aurait préféré payer 10€ de moins et se passer des "superbes figurines" fournies par Mohand (hint : irony inside). Ce qui revient clairement à dire : Vous avez payé EN PLUS vos cadeaux.
On sait tous que les stretch goals sont payés par les backers. Qu'ils sont souvent (toujours ?) prévues dans le prix de base par rapport à un volume de vente estimé. C'est normal de faire ainsi, pour l'entreprise. Elle ne peut pas sortir de son chapeau des produits sans avoir prévu le coup. Rien de choquant. Toutefois le prix boutique n'intégrant pas ces cadeaux (peu importe leur utilité) étant égal à ce qu'on payé les backers, il y a un sentiment de "justice".
Là les gens supportent tous les risques, et au final se voient littéralement imposé l'achat de stretch goals qui m'apparaissent comme largement dispensable. Et ça c'est quand même bien dégueulasse. Normalement une fois le projet fini, livré puis distribué en boutique, tu dois pouvoir te dire "J'ai bien fait de participer, j'y ai gagné". Là t'as la seule sensation de t'être fait enfler par rapport aux gars qui vont avoir les bouquins peut-être plus tôt et moins cher.