Citation :
Il y a 2 heures, LuciusForge a dit :
Les mecs ont le droit de se ballader torse poil, mais pas les gonzesses ? Allons messieurs, c'est du sexisme. Et cette représentation de ces hommes n'est-elle pas cliché ? Des gros tas de muscle avec une grosse épée qui vont au combat. Dans la vrai vie quasi personne n'est comme ça : où sont les comptables, les employés, les ....
Mon propos n'était pas vraiment là.
Je ne suis pas gêné par des figurines de femmes à poils. J'en possède, d'ailleurs, et j'en ai intégré tant dans du décors que dans des armées de jeu. Idem pour des mecs à poil, par ailleurs, notamment ceux de chez Hasslefree avec la virilité au vent.
Je ne suis pas gêné, en tant que tel, par des figurines de nanas en tenus improbables faite pour montrer un maximum de chair. On en trouve chez leurs homologue masculin et celà participe à un certain imaginaire, notamment en HF, emprunt de mythe du bon barbare et tout ça.
Je n'ai rien contre les robes fendues et les talons aiguilles, ni contre les muscles saillant et les grosses épées. A nouveau, nous somme dans une forme d'imaginaire.
Par contre, oui, j'ai bien un problème avec l'omniprésence de ces catégories pour les femmes. A ce niveau, il existe un réel problème à mes yeux, qui n'a rien à voir avec le fait ou non de se palucher sur des morceaux de plomb de 3 cm de haut. Le cliché me gène quand l'un d'entre eux devient la seule représentation que l'on peut trouver pour un type de personne.
Je trouverais sans difficulté des figurines de combattants masculins, quelque soit l’époque choisie, représenté avec des tenus fonctionnelles et crédibles. (Tout comme je trouverais sans trop de problème des types avec pantalon en maille et torse vigoureux.)
Trouver, par contre, des représentation crédible et fonctionnel de femmes en armure ou en tenue de combat moderne est une autre paire de manche. Ca existe, mais c'est autrement plus rare que l'équivalent masculin.
Après, bien sur qu'il y a des armes et de la virilisation (y comprit des femmes, d'ailleurs) : nous somme dans des jeux de guerre, et ça passe forcément par des moyens de se mettre sur la tronche.
C'est ce que j'aime chez Hasslefree, d'une façon générale : il y a de tout, et en quantité. De la femme nue, de l'homme a bite, des combattants dans des tenus de tous les jours, y comprit avec du bide et des gueules de poubelle du mardi soir, du barbare virilisé à l'extrême (homme comme femme), des mutants, de la vulgarité, de la chasteté... On trouve un équilibre dans sa gamme qui n'est, malheureusement, par celui que l'on retrouve dans le marché de la 'gurine de jeu, d'une façon générale.
C'est bien là que ça me gène, Lucius, et non pas dans le fait de montrer ou non des tétons sur un personnage haut comme rien fait pour jouer.