<p style="font-style:normal;">Swompy cracha par terre une fois que le fondu de napalm avait tourné le dos à l'assemblé. Il jouait de malchance depuis un bon petit moment. Son mécano-chiurgien avait dut remplacé sa tête bionique par une prothèse (de qualité, certe) par une autre en forme de face de chèvre. Saleté de robots. Toujours a utiliser du plasma, ceux-là. Swompy était un synthétique, un cyborg. Depuis son accident, ce qui remonttait loin dans son passé, il avait hérité d'une peur au feu, au noir, à la foule, au bruit et à la fumée. Et un corps mécanique, en prime.
Saleté de corps. Il n'avait jamais trouvé de réceptacle idéal pour son cerveau. Trop petit, trop gros. Il avait en permanence des migraines atroces et des idées bizares et étranges. En plus, et il ne l'avait appris que dernièrement, son mécano-chiurgien utilisait des gaz hallucinogènes et alcooliques pour nettoyer les prothèses !
Il n'avait plus un sou. Comme d'habitude, sa dernière opération lui avait sucré tout son pécul. Il avait besoin de se refaire. Il avait entendu parler de ce bar miteux, le Last Hope. Le dernier espoir. L'ironie l'aurait fait grimacé, si sa tête avait été pourvu de quelques artiulations. Esprit avait parlé d'un grand plan. Il était louche, avec son bouclier frappé du symbole des survivants et avec ses lunettes de soudeur. Swompy, en tant que mutant, avait toujours appris à se méfier des survivants. Swompy ne savait pas si il le regardait. Mais il parlait bien, avec des mots riches et précieux. "Or et eau". Les autres déglingués de salopards bon à pendre au premier poteau venu étaient du même acquabi. Des gueules terribles, surréaliste de grossierté. Pas besoin d'affiches ou de portraits pour reconnaître ces types. Le terme "tronche de tueur" collait parfaitement.
Swompy terminait son verre d'eau pure. Il était coupé au wisky. Il fairait la peau du barman pour ça. Il se demandait si la réunion des enfants terribles attendait encore beaucoup de monde.
Saleté de corps. Il n'avait jamais trouvé de réceptacle idéal pour son cerveau. Trop petit, trop gros. Il avait en permanence des migraines atroces et des idées bizares et étranges. En plus, et il ne l'avait appris que dernièrement, son mécano-chiurgien utilisait des gaz hallucinogènes et alcooliques pour nettoyer les prothèses !
Il n'avait plus un sou. Comme d'habitude, sa dernière opération lui avait sucré tout son pécul. Il avait besoin de se refaire. Il avait entendu parler de ce bar miteux, le Last Hope. Le dernier espoir. L'ironie l'aurait fait grimacé, si sa tête avait été pourvu de quelques artiulations. Esprit avait parlé d'un grand plan. Il était louche, avec son bouclier frappé du symbole des survivants et avec ses lunettes de soudeur. Swompy, en tant que mutant, avait toujours appris à se méfier des survivants. Swompy ne savait pas si il le regardait. Mais il parlait bien, avec des mots riches et précieux. "Or et eau". Les autres déglingués de salopards bon à pendre au premier poteau venu étaient du même acquabi. Des gueules terribles, surréaliste de grossierté. Pas besoin d'affiches ou de portraits pour reconnaître ces types. Le terme "tronche de tueur" collait parfaitement.
Swompy terminait son verre d'eau pure. Il était coupé au wisky. Il fairait la peau du barman pour ça. Il se demandait si la réunion des enfants terribles attendait encore beaucoup de monde.