Oh, un sous marin, c'est dans le thème.
Pour la peine, je poste quand même la fin :
Citation : G_ le Royaume des Bretons Britannia est partout. Victoria s’en assure et ne compte pas lâcher son os. Les attaques sur les territoires extrêmes orientaux et, pire, sur Londres ont pris les anglais de court mais ils ont stoïquement fait le dos rond. Et quand ils sortiront la tête de l’eau, ça va se remarquer : le commonwealth a des ressources.le squat
Pour l’instant, l’Empire n’en est pas encore à repasser à l’offensive –ou si peu-. Mais vu la taille de son dominion, on trouve leurs forces partout dans le monde, donc il est simple de les impliquer.
En l’occurrence, Gibraltar et l’Inde sont les deux territoires impliqués de gré ou de force.
Gibraltar l’est plutôt de gré. Le contrôle des colonnes d’Hercule par les grand-bretons est une de leurs places fortes restées incontestées et ils comptent en profiter. Le Commodore John Poyntz Spencer qui est en charge de la flotte stationnée à Gibraltar est à priori l’homme de la situation : profitant de la passivité de son adversaire direct (le konteradmiral prussien von Scharnhorst) il gère ses effectifs et se contente de maintenir sous pression les flottes prussiennes et françaises en patrouillant la méditerranée comme si elle lui appartenait.
En pratique, cependant, Poyntz Spencer a vu ses attributions se développer et doit de plus en plus envoyer des patrouilles dans l’atlantique est pour sécuriser les routes commerciales entre les domaines africains de Sa Majesté et les FSA. De fait, le Commodore fait ce qu’il peut avec ce qu’il a et préfère éviter les engagements, se contentant de maintenir une présence vigilante que ses adversaires semblent peu envieux de contester.
Ou presque puisqu’en début d’année, Gibraltar a dû essuyer un bombardement par la FPM. C’est heureusement resté un raid de peu d’envergure et, maintenant que les prussiens se tournent vers l’est, cette attaque devrait rester sans suite, tout au plus un geste politique de von Scharnhorst pour faire plaisir à ses supérieurs –mais sans plus d’engagement-.
Reste à voir si, la situation à l’est évoluant, Poyntz Spencer ne recevra pas l’ordre de s’attaquer à Suez pour soulager un peu son homologue indien.
Homologue qui est répond au doux nom de Michael Seymour, Vice-Admiral de son état. L’amiral Seymour est en charge de la flotte anglaise de l’Océan Indien et de la coordination de cette force avec la East India Company qui assure la sécurité de l’Inde –locale comme « à distance »-.
Ces forces bretonnes ci sont plutôt destinées à la défensive et on verra ce qu’il advient d’elles à mesure que l’assaut progresse sr leur territoire. Pour l’instant, si le Vice-Admiral est au courant des intentions concernant le territoire sous sa protection, il n’y a pas grand-chose qu’il puisse faire à part rappeler certains navires pour les concentrer en une flotte de réponse basée dans les Maldives.
H_ les Etats Américains Fédérés Des américains à Banyuls, c’est pas gagné. En revanche, l’Opération Cyclone a amené une belle flotte des FSA jusqu’aux territoires indonésiens du KoB et en Australie.
Et à l’avant-garde de cette flotte, la flottille du Commander Roger Jones va aller faire un tour dans l’Océan Indien. Sa mission est d’aider les anglais dans le coin mais surtout d’investiguer sur les possibilités qu’il y existe pour y établir une base de la navy.
Cependant, avec l’assaut conjoint des Impériaux, il va se retrouver à devoir participer un peu plus activement que prévu à l’action.
I_ les Russes Blancs La quasi-annexion chinoise du Balochistan a fait violement réagir la cour du Tsar.
Trop occupés à gérer le conflit à l’ouest et surtout l’invasion japonaise à l’est, les ressources de la Coalition Russe sont limitées et focalisées sur les prochains mouvements japonais et ils n’ont pas vu venir le mouvement des chinois qui les a coupé de leurs voisins anglais des Indes.
Contraints et forcés, ils se retrouvent donc à devoir réagir en miroir des chinois : suite à un traité, le Général Mikhaïl Dmitrievitch Skobelev vient de rejoindre la cour du Khan Abu Da'ud Sulayman ibn Ahmed al-Sijistani à Chabahar, capitale du « royaume » du Sakastan (une cité-état glorifiée, vaguement indépendante et sous la coupe d’un fanatique), voisin du Balochistan.
Cette option donne un accès aux russes à l’Océan Indien mais qui est pour l’instant limité à leur flotte aérienne, faute d’avoir des navires dans la région. Le temps de les rameuter, quelques mois risquent de passer sans eux.
Et pour rajouter au côté bancal de cette position, ce mouvement les a amenés à s’installer dans un petit royaume mineur voisin de l’Empire Ottoman. Le risque existe que le Sultan s’en émeuve et lance un assaut sur le nouvel allié des russes, entrainant ainsi l’ouverture d’un troisième front terrestre.
En revanche, en matière de bateaux, la Mer Noire, elle est plus ou moins sous leur contrôle. Et si les défenses des Dardanelles et d’Istanbul tiennent largement les blancs au loin, la flotte de l’amiral Alexandre Nikolaïevitch Andreïev –basée à Sébastopol- tiens la Mer Noire d’une main de fer dans un gant d’achier et bombarde même régulièrement l’est de la côte Turque.
J_ le Comité Anti Ours Ces gens-là foutent leur nez partout. Assumant que tout est de leur ressort, ils vont donc forcément aller emmerder partout où ils le pourront.
Banyuls et la côte Vermeille, ça parait compliqué, à part de monter un raid avec des orbes ce qui parait peu probable vue les problèmes qu’ils ont eu récemment.
Cependant, leur « ambassade » à Venise est très active.
Et surtout, l’Océan Indien est leur arrière-cour. De massifs déploiements de troupes dans cette région, ça n’est pas rassurant pour eux. Du coup ils ont monté une petite flotte qui explore les îles du sud de l’Indien pour y établir une base avancée histoire de surveiller tout ça.
on essayera de faire du contenu numérique et ça te laisser le temps de faire la table complète