Je me défends, en lecture, quand je m'attache a un auteur, je lit tout ce que je trouve.
Pas lu Howard, mais tout Lovecraft, tout K Dick, tout Jaworski, tout Pratchett, tout Tolkien, tout Asimov, tout Damasio, tout Gaborit, (...)
Tu connais mieux la série, que je n'ai pas vue en entier, que moi, mais non, tu ne connais pas mieux le tdf livre que moi, j'attends de lire avant de regarder comment c'est raté en série...
Je suis dans King en ce moment, mais meme avec mes 2h30 de lecture quotidienne, ca fait un peu beaucoup comme plat de pâtes
Je critique pas les auteurs, dessinateurs, etc, ou quiconque produit qqchose, chez Monolith. Ils font tous leur travail TRÈS bien. Je souligne. TRES bien. Je fais part de ma frustration (soulignee) concernant les univers, qui m'empechent de me joindre a la teuf. Je sais que le prochain jeu est un jeu de héros en slip dans la neige. Ca fera juste 5x de suite.
Bah voila, il fait froid. Fin.
L'exploration de ce type d'univers est mono dimensionnel. C'est le Bien, contre le Mal, dans des figures de conflits essentialiste. T'es laid, tu mérite mon poing sur ton nez. T'es beau, tu mérite que je kick ton chat car je suis un laid.
Ca va pas loin.
Il est difficile de raconter des histoires de traitrise dans ce type d'univers, pour ces raison : un laid qui trahit les laid reste laid. Ca forme des thématiques littéraires assez bidon aka la dernière trilogie Star Wars, très mal écrite (ou, disons plus consentuellement, dont l'écriture est très très discutée).
Dans Shadowrun, un traitre est a la fois plus crédible et a la fois un danger plus grand pour une faction. En credibilisant les traitres, tu aura toute une palanquée de factions, soit a mi-chemin entre le bien et le mal, soit idéalement qui cassent le game du Combat Eternel du Bien Contre le Mal.
RÉSULTAT: ton univers ne s'explore plus sur une dimension BIEN VS MAL, mais sur tout une palette de plans d'opposition différentes, beaucoup plus proches de l'irl, que le storytelling craché par la presse h24. C'est ca faire de la fiction adulte "pour moi" (souligné pour moi).
Pas lu Howard, mais tout Lovecraft, tout K Dick, tout Jaworski, tout Pratchett, tout Tolkien, tout Asimov, tout Damasio, tout Gaborit, (...)

Tu connais mieux la série, que je n'ai pas vue en entier, que moi, mais non, tu ne connais pas mieux le tdf livre que moi, j'attends de lire avant de regarder comment c'est raté en série...
Je suis dans King en ce moment, mais meme avec mes 2h30 de lecture quotidienne, ca fait un peu beaucoup comme plat de pâtes

Je critique pas les auteurs, dessinateurs, etc, ou quiconque produit qqchose, chez Monolith. Ils font tous leur travail TRÈS bien. Je souligne. TRES bien. Je fais part de ma frustration (soulignee) concernant les univers, qui m'empechent de me joindre a la teuf. Je sais que le prochain jeu est un jeu de héros en slip dans la neige. Ca fera juste 5x de suite.
Bah voila, il fait froid. Fin.
L'exploration de ce type d'univers est mono dimensionnel. C'est le Bien, contre le Mal, dans des figures de conflits essentialiste. T'es laid, tu mérite mon poing sur ton nez. T'es beau, tu mérite que je kick ton chat car je suis un laid.
Ca va pas loin.
Il est difficile de raconter des histoires de traitrise dans ce type d'univers, pour ces raison : un laid qui trahit les laid reste laid. Ca forme des thématiques littéraires assez bidon aka la dernière trilogie Star Wars, très mal écrite (ou, disons plus consentuellement, dont l'écriture est très très discutée).
Dans Shadowrun, un traitre est a la fois plus crédible et a la fois un danger plus grand pour une faction. En credibilisant les traitres, tu aura toute une palanquée de factions, soit a mi-chemin entre le bien et le mal, soit idéalement qui cassent le game du Combat Eternel du Bien Contre le Mal.
RÉSULTAT: ton univers ne s'explore plus sur une dimension BIEN VS MAL, mais sur tout une palette de plans d'opposition différentes, beaucoup plus proches de l'irl, que le storytelling craché par la presse h24. C'est ca faire de la fiction adulte "pour moi" (souligné pour moi).