(22-01-2020, 13:08)rafpark a écrit : le cassage de gueule de ludik bazard on le connait, la boîte fait sa fortune sur la mauvaise tenue du marché et sur les liquidations de stock successives.
Il a ouvert sa boite à l'époque en voyant qu'il y avait un marché pour les "vieux trucs" qui trainaient dans les stocks des uns et des autres, il les rachète puis les vend sur son site. Puis ça a explosé avec "la crise de 2009" et les fermeture de boites (rackham en tête et le destock de folie). Dommage pour lui derrière le marché se porte mieux, moins de destock, plus de boutique qui fonctionnent .. bah la boite à pas tenue ...
C'est là que "les emmerdes" commencent avec une gestion de fuite en avant effectivement qui se répercute sur SD ..
Qu'est-ce que j,ai pu leur filer de tunes pour compléter ma collec de Confrontation. Comme Miniature Market pour l'Amérique, ils ont été liquidateur des stocks de Rackham. Y avait même de la fig d'occaze peinte, des moules...
Y a eu la boutique en dur qui a morflé aussi en premier lieu, avant que tout prenne le bord petit à petit...
C'est quand même marrant qu'il ait pu convaincre un pote de racheter ses invendus d'invendus via Way of Gamers

(22-01-2020, 14:23)DV8 a écrit :(22-01-2020, 04:49)yslaire a écrit : Ceci dit tu adoptes une définition large de start-up.
Rien que le fait d'utiliser une plateforme de crowfunding pour tes levées de fonds fait que c'est de facto une espèce de "startup".
Pas con. Y aurait une thèse à écrire sur ce sujet. D'autant que, pour certains, chaque crowdfunding semble l'occasion de repartir à neuf
